Blog CGT Inergy 2012(Groupe Plastic Omnium).Licenciements Boursiers..ou la Vision de L.Burelle et sa Vitrine.(28/08/2012)
La CGT
INERGY AUTOMOTIVE SYSTEMS
La CGT ne peut pas rester immobile...
Nous ne pouvons pas fermer les yeux devant cette situation
Notre devoir, c'est d'agir
D'agir dans l'intérêt général, d'agir avec justice, mais d'agir»...
Nous croyons que la pire des injustices, c'est l'immobilisme
Convaincus , Energiques , Déterminés
CGT Inergy (Groupe Plastic Omnium)
La Vision de L.Burelle
La Vitrine de L.Burelle
Vivre et Travailler au Pays
Le Calendrier 2012
CCE EXTRAORDINAIRE
28 JUIN 2012
2 Centres Techniques en France
LavaL et Compiègne
Le « regroupement » sur le site de Compiègne condamne Laval
et ses 200 Salariés.
Plastic Omnium
Metteur en scène
Du Show « Regroupement »
a annoncé le
Regroupement à Compiègne
L'accord "de méthode" proposé par la Direction Inergy a été rejeté à l'unanimité par les organisations syndicales.
Penser Ensemble
Ne rien lâcher de nos désirs,
De nos revendications, de nos espoirs
Et
Agir en conséquence.
Comme Nous savons le Faire.
Résister aux briseurs de rêve,
Dégonfler les arguments et les arguties
Des tenants du « on ne peut pas faire autrement »
Il nous faut penser ENSEMBLE
Les alternatives aux fausses solutions
Et Peser ainsi sur les orientations
Du Président Burelle.
PlasticOmniumPOrtePOisseSocial
Du Centre Technique Lavallois
Le Président Laurent Burelle
Groupe Plastic Omnium
a validé
L’option « regroupement »
Sur le site de Compiègne
Condamnant Laval .
La CGT appelle à la Mobilisation des Salariés pour Défendre leur Emploi.
Ont-ils oublié
les licenciements boursiers ?
Pour sa rentrée, Jean-Luc Mélenchon apostrophe le gouvernement : une proposition de loi interdisant ces licenciements existe, pourquoi ne pas l’adopter ?
Les socialistes l’avaient approuvée, les socialistes s’en sont débarrassés. La proposition de loi contre les « licenciements boursiers » (« boursiers » car réalisés par des entreprises versant des dividendes) avait été votée par les sénateurs socialistes en février 2012 mais, aujourd’hui, François Hollande a passé la main aux partenaires sociaux.
Jean-Luc Mélenchon s’est permis de le lui faire remarquer, lundi 20 août, sur France Inter :
Mélenchon : « Il fallait immédiatement enrayer la vague de licenciements »
L’ancien candidat du Front de Gauche l’a aussi tweeté :
« Une loi sur les licenciements boursiers a déjà été écrite ; pourquoi ne pas l’avoir adoptée ? »
Les sénateurs socialistes pour l’interdiction
Rappel des faits. Le 13 septembre 2011, une proposition de loi « tendant à interdire les licenciements boursiers » est présentée par les communistes au Sénat.
Citant les exemples de Michelin en 1999, Total en 2009, Alstom ou encore Danone, les auteurs proposent deux mesures :
- exclure du champ légal des licenciements économiques ceux effectués dans des entreprises ayant reversé des dividendes à leurs actionnaires l’année écoulée ;
- exiger des établissements ou entreprises bénéficiant d’aides publiques qui procèdent à de tels licenciements qu’ils remboursent les sommes perçues.
Le 16 février 2012, le texte est finalement rejeté, à six voix d’écart. Tous les socialistes, sauf un, ont voté [PDF] en sa faveur.
Le gouvernement hésite...
En campagne, François Hollande reprend la mesure, en la rabotant. Il ne s’agit plus d’interdire, mais de « dissuader les licenciements boursiers ». Pour ce faire, le candidat socialiste prévoit de « renchérir le coût des licenciements collectifs pour les entreprises qui versent des dividendes ou rachètent leurs actions ».
C’est Michel Sapin, son ministre du Travail et de l’Emploi qui, le 3 juin, sur BFM-TV, se met à évoquer à nouveau l’idée d’interdire purement et simplement les licenciements « n’ayant pour seul motif que d’augmenter les dividendes versés à l’actionnaire ».
Marche arrière quelques jours plus tard. Dans Les Echos, Sapin envisage « des mesures législatives dès la rentrée » mais pour « renchérir » le coût des « licenciements abusifs ». Exit l’interdiction : « Le juge a déjà un rôle important. »
Et Sapin refile le bébé
Contacté, le cabinet de Michel Sapin renvoie aujourd’hui à la feuille de route [PDF] rédigée avec les partenaires sociaux lors de la Grande conférence sociale des 9 et 10 juillet.
Il y est bien question d’« encadrer les licenciements manifestement abusifs et les obligations liées à des projets de fermeture de sites rentables. » Mais, dorénavant, c’est un chantier sur lequel les partenaires sociaux sont « invités » à « négocier au niveau national interprofessionnel ».
La négociation sera conduite d’ici la fin du premier trimestre 2013, et s’engagera sur la base d’un document d’orientation transmis en septembre 2012.
Comme on le résume au cabinet du ministre, « la négociation est nécessaire pour tenir les engagements ».
Mais, en même temps, « l’avenir nous dira si les engagements peuvent être tenus ». Tels sont les paradoxes de la méthode hollandaise.
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Ce qu'il faut savoir sur les nouveaux "contrats d'avenir"
Promesse du candidat Hollande, les "emplois d'avenir" seront à l'ordre du jour du prochain Conseil des ministres, pour une entrée en vigueur dès le 1er janvier 2013. A qui sont-ils destinés? Et surtout, seront-ils efficaces? Les réponses de L'Expansion.com.
Le ministre du Travail a esquissé ce mercredi les grandes lignes du projet de loi visant à créer 150.000 "emplois d'avenir" d'ici à 2014. En ligne avec la promesse du candidat Hollande, Michel Sapin veut en faire une "marche vers l'emploi" destinée aux jeunes pour qu'ils puissent "retrouver de l'espoir, de la compétence, de la formation" (...) être reconnus dans la société."
En quoi consistent les "emplois d'avenir"?
Le projet de loi pour créer les emplois d'avenir sera à l'ordre du jour du Conseil des ministres du 29 août. Pour s'attaquer rapidement au chômage des jeunes, le ministre du Travail, Michel Sapin y présentera ces nouveaux contrats subventionnés destinés à créer 150.000 emplois, soit 100.000 emplois en 2013 et 50.000 l'année suivante.
Ces contrats prendront la forme d'un CDD ou d'un CDI. Ils visent les jeunes de 16 à 25 ans peu ou pas qualifiés. La préférence sera donnée à ceux qui demeurent dans les zones urbaines sensibles (ZUS). Le gouvernement évalue le coût de cette mesure à 1,5 milliard par an, en rythme de croisière.
Ces nouveaux contrats, qui devraient entrer en vigueur dès le 1er janvier 2013, s'adressent en priorité aux employeurs du secteur public, c'est à dire les associations, ou les collectivités locales. Pour ceux-ci, l'État apportera une subvention de 75% du coût salarial, versée pour une durée de 1 à 3 ans. Grande nouveauté révélée par Les Échos, ce dispositif devrait également être ouvert aux entreprises privées. Mais pour elles, l'aide de l'État, fixée ultérieurement, sera moindre "pour éviter tout effet d'aubaine."
Quels avantages par rapport aux "contrats aidés"?
Les "emplois d'avenir" vont évoluer parallèlement aux 390.000 "contrats aidés" classiques. Appelés "contrats unique d'insertion", ils sont déclinés en deux versions. La première est ouverte aux employeurs du secteur public, et financée à 70% par l'État. La seconde, pour les entreprises privées, est financée à 30% par l'État. Aucune des deux formules n'excède 10 mois.
À l'automne dernier, la cour des Comptes avait dressé un bilan peu reluisant de ces contrats censés favoriser l'insertion professionnelle des jeunes: six mois après la fin de leur contrat, plus de la moitié des bénéficiaires dans le secteur public pointe au chômage. La Cour des comptes épinglait notamment la durée de ces contrats, souvent raccourcie par les employeurs pour augmenter le nombre de bénéficiaires. Tout cela pour un résultat final encore plus contestable. Selon une enquête du Ministère du Travail, ces contrats, qui ne bénéficient d'aucune formation, handicaperaient même les jeunes en recherche d'emploi.
Anticipant ces critiques, le gouvernement a prévu des contrats plus longs - de 1 à 3 ans - et Michel Sapin a annoncé dans un entretien au Monde que les employeurs seraient soutenus, sous la forme éventuellement d'un "chèque formation."
Quelle efficacité pour les "emplois d'avenir"?
Malgré la promesse de créer 150.000 emplois, auxquels il faudra ajouter les 500.000 contrats de génération sur 5 ans, la mesure ne convainc pas tous les économistes. Mathieu Plane de l'OFCE estime notamment que ces deux types de dispositifs ne devraient pas générer plus de "200.000 emplois nets sur le quinquennat". Un chiffre insuffisant, si on considère que chaque année "le marché du travail français doit absorber 150.000 actifs supplémentaires".
Jean-Claude Mailly, secrétaire général de Force ouvrière, doute lui aussi de l'efficacité de ces nouveaux contrats. Pour lui, "les emplois d'avenir, ce sont des contrats aidés, comme il y en a eu d'autres". "Ce sont des emplois subventionnés, ça ne règle pas le problème" du chômage des jeunes.
Sans surprise, l'UMP s'en est pris aussi à la mesure. Dans un communiqué, le parti de l'ancienne majorité juge qu'elle s'apparente aux "emplois jeunes" qui "furent un échec prémédité.""Le gouvernement ne fait que retarder de 3 ans (la durée du contrat) le problème majeur du chômage des jeunes", estime notamment Camille Bedin, secrétaire nationale de l'UMP, qui épingle aussi le coût de ces contrats.
Selon Éric Heyer, de l'OFCE, il serait bien supérieur aux 1,5 milliard calculés par le gouvernement. '"En comptant les exonérations de charge au niveau au niveau du smic, le coût d'un contrat aidé pour l'Etat dépasse 17 000 euros. Pour 150 000 contrats, il faut donc plutôt compter 2,5 milliards", estime l'économiste.
Inergy se lache !!!encore une fois!!!
Les Lucky Luke de la lettre de licenciement
s'en donnent à cœur joie....
Des départs,encore des départs....
Utilisation des fonds sociaux entre autres ceux des ASSEDIC
Accord "Seniors" bidon....
GPEC = Programme d'Expulsion
Plans de charges à court terme et à la baisse...
Perspectives d'Avenir inconnues....
Inquiétudes sur les synergies PO/Inergy
Equilibrage des sites ??? :
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Les Syndicats CGC / FO et CFTC
ont signé l'Accord GPEC
Grand Programme d’Expulsion vers le Chômage
le 14/12/2010
La Reconquête s'impose......
Pour CGT Inergy
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