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Blog CGT Inergy 2011(Groupe Plastic Omnium).....Pression au Travail et "chasse Pauvre"......ou la Vision de L.Burelle et sa Vitrine....(30/11/2011 )

Publié le par cgtinergy

La CGT

INERGY AUTOMOTIVE SYSTEMS

    La CGT ne peut pas rester immobile...

 

Nous ne pouvons pas fermer les yeux devant cette situation

 

 

Notre devoir, c'est d'agir

 

 D'agir dans l'intérêt général, d'agir avec justice, mais d'agir»...

 

Nous croyons  que la pire des injustices, c'est l'immobilisme

 

Convaincus , Energiques , Déterminés

CGT Inergy (Groupe Plastic Omnium)

 

 

 

La Vision de L.Burelle

  

   La Vitrine de L.Burelle 

                                                

Vivre  et Travailler au Pays 

 

  

 

Le Calendrier 2011

 

Ce sont Nos choix qui déterminent qui Nous sommes...

 

 

   CCE Ordinaire le 06 Décembre 2011

    CCE Extraordinaire le 15 Décembre 2011

  

 C'était le  CCE Extraordinaire du 27 Octobre 2011

Ordre du Jour :

 

Information générale sur le Projet de construction d’un nouveau centre technique.

 

Dernière minute :

Annulation sans (con)sommation

 

En fin de réunion CCE du 21 Octobre 2011,la Direction Inergy a informé celui-ci de l’annulation de la Réunion du 27 Octobre 2011 dont l’ordre du jour était :Information générale sur le Projet de construction d’un nouveau centre Technique, pour cause d’un dossier non finalisé….

Cette nouvelle attente permettra sans doute de consommer (sans modération) du médical à tout va,… médecin, infirmière, psychologues, assistant social…….

 

Face au monde qui bouge,il vaut mieux penser le changement que changer le pansement... 

 

 

 

 Pression au travail,

manque d'argent : ces patients

qui refusent les arrêts-maladie

La maladie donne décidément du fil à retordre au gouvernement. Après avoir renoncé à modifier le mode de calcul des indemnités journalières pour faire des économies, le voilà prêt à reculer sur le quatrième jour de carence pour les salariés du privé. Par deux fois, les mesures qu'il défendait ont été jugées injustes : elles touchaient les travailleurs dont l'entreprise ne compense pas la baisse de revenu liée à l'arrêt-maladie.

De quoi aggraver un phénomène observé par de plus en plus de médecins en ces temps de crise : le refus des malades de se mettre en arrêt-maladie. Un sujet peu documenté. "On en parle peu, sans doute parce que les arrêts-maladie sont un sujet tabou et qu'il est de bon ton d'estimer que les Français sont des fainéants", analyse Claude Bronner, du syndicat Union Généraliste. Ce médecin, qui se dit inquiet de l'augmentation de la souffrance au travail, voit souvent des patients qui lui font part des pressions de leur entreprise contre les arrêts.

Surtout, il y a le problème financier. Tous ne sont pas égaux devant la possibilité, ou non, de s'arrêter. Les médecins distinguent trois catégories : les fonctionnaires, assez bien protégés ; les salariés des grandes sociétés, pour lesquels il n'y a pas d'incidence financière quand ils se mettent en congé maladie ; et un troisième groupe, ceux dont les entreprises ne compensent pas les jours de carence, ni la baisse de revenu engendrée par le versement d'indemnités moins élevées que le salaire. Selon le gouvernement, seuls 30 % des salariés ne reçoivent pas de complément de salaire, un chiffre contesté par les syndicats. "Même minoritaires, ces personnes sont nombreuses quand même", insiste le Dr Bronner, évoquant les smicards pour qui gagner moins est impossible.

Ne pas pouvoir s'arrêter peut constituer un frein à l'accès aux soins. Comme les dépassements d'honoraires, le coût des complémentaires santé, ou les délais d'attente auprès des spécialistes, motifs bien connus de renoncements. A ces réfractaires, les médecins donnent des arrêts, considérant qu'ils font partie de la prescription comme les médicaments. Mais ils savent pertinemment qu'ils n'en tiendront pas compte. Parfois, les malades s'arrêtent mais repartent travailler alors qu'ils ne sont pas guéris. D'autres reportent une opération, ne pouvant se permettre plusieurs semaines d'arrêt.

"Tous les jours, un ou deux patients refusent que je les arrête. Ils disent ne pas pouvoir se le permettre, mais aussi avoir peur d'être stigmatisés", constate Stéphane Pertuet, généraliste à Barentin (Seine-Maritime). Il décrit des actifs, souvent trentenaires, travaillant notamment dans le commerce. Il voit des employés municipaux qui ne veulent pas perdre leur prime de présence. Des malades parfois sous forte pression à cause de la crise, que ce médecin pousse à faire une pause. Dernièrement, il a réussi à convaincre un jeune homme : "Il avait honte d'expliquer qu'il craquait, il m'a demandé ce qu'il pourrait dire à son patron."

Comme beaucoup, il s'énerve de la pression de la majorité sur les arrêts-maladie. C'est aussi le cas de "docteurmilie", pseudonyme d'une jeune généraliste de Seine-Saint-Denis qui tient un blog. "Oui, je l'accorde, il y en a quelques-uns qui réclament des arrêts pour pas grand-chose, ou qui tirent sur la corde - "tant qu'à avoir trois jours, mettez-moi la semaine tant qu'à faire"" , y écrit-elle, estimant qu'il s'agit de cas marginaux. "Autour de moi, les gens ne prennent pas leurs arrêts-maladie. Faut-il en déduire qu'en Seine-Saint-Denis les gens sont plus courageux ?", affirme la généraliste, qui garde l'anonymat pour pouvoir raconter les histoires de ses patients.

Le "docteurmilie" voit aussi des malades qui refusent un congé maladie pour ne pas mettre leurs collègues dans l'embarras ou parce qu'ils ont peur d'avoir ensuite trop de travail à rattraper. Pourtant, juge-t-elle, pour une tendinite ou un lumbago, mieux vaut s'arrêter quand ce n'est pas encore trop grave avant de finir "totalement bloqué". Pour limiter le coût global des arrêts, elle plaide pour une sensibilisation aux conséquences des abus et non une stigmatisation des malades. Depuis plusieurs années, l'assurance-maladie explore la question de référentiels de prescription pour guider les médecins, la durée des arrêts étant très hétérogène d'un praticien à l'autre. De quoi faire pas mal d'économies.

 

 

 

 

 

 

 

Boite aux Images Politique…

 

  SDF : après le « chasse-pauvre » du XIXe siècle, l'arrêté anti-mendicité

 

 

En 2009, la pauvreté a encore progressé en France et toucherait, selon l'Insee, plus de 8 millions de Français. Depuis, de nombreux indicateurs laissent penser à une aggravation de la précarité, comme l'annoncent de nombreuses associations caritatives.

 

Parmi les plus démunis figurent les mendiants et les SDF qui sont régulièrement concernés par des mesures répressives. C'est ainsi que ces dernières semaines, des communes ont décidé de résoudre le problème de l'exclusion en recourant à des arrêtés anti-mendicité.

Au XIXe siècle déjà, les mendiants et les sans-domicile fixe dérangent par leur visibilité dans l'espace public et subissent périodiquement les foudres des autorités. Aujourd'hui encore, le traitement des exclus n'est pas dénué d'apports ou de visées idéologiques. En ce début de XXIe siècle, la question sociale reste centrale. Mais le débat aura-t-il réellement lieu ?

 

La crise, terreau favorable

 

La fréquence des arrêtés anti-mendicité tend à augmenter durant certaines périodes. C'est ainsi que les crises économiques, politiques ou encore financières, favorisent la stigmatisation des exclus et alimentent rumeurs et fantasmes.

 

A la fin du XIXe siècle, la IIIe République naissante cherche à renforcer son autorité et renforce le contrôle et la surveillance des populations, notamment du fait de la menace anarchiste. La presse écrite assimile alors les mendiants et les vagabonds à de dangereux criminels, les Apaches. Jusqu'en 1994, les mendiants et les vagabonds pouvaient être réprimés par le code pénal.

 

En sonnant le glas de la criminalisation des ces exclus, le législateur ne s'attendait sans doute pas aux conséquences laissées par ce vide juridique. Cette décision a en effet entraîné un recours plus systématique des communes aux arrêtés anti-mendicité, relançant ainsi la question du respect de certaines libertés individuelles.

 

Ces arrêtés ne bafouent-ils pas des textes fondateurs de notre démocratie, comme la déclaration des droits de l'homme et du citoyen ou encore la Constitution française ? Le droit de circuler ou de stationner ne semble cependant pas faire le poids face à l'argument du respect de la tranquillité publique.

 

En octobre dernier, la médiatisation de l'arrêté pris à Marseille par Jean-Claude Gaudin a entraîné de nombreuses réactions d'indignation. Le maire de la deuxième ville de France désigne clairement les Roms qui pratiqueraient une « mendicité active ».

    

 

 

  

 

 

Les Syndicats CGC / FO et CFTC

ont signé l'Accord GPEC 

   

  

 

Grand Programme d’Expulsion vers le Chômage 

 le 14/12/2010

     

         

 

 

Faites gaffe à la Presse ! 

 

Surtout, ne répondez pas aux sollicitations des journalistes.

 

 On se remet toujours d’une interview qu’on n’a pas faite.

 

Mais on ne se remet jamais d’une interview ratée.

 

 

La Presse...  

L'équipementier Plastic Omnium

 veut muscler sa R&D

Le 23 mars 2011 par Michel Quéruel (Rhône-Alpes)

 

Investissement. Fortement stimulé par la reprise du marché automobile mondial, le groupe Plastic Omnium, spécialisé dans les équipements automobiles et la plasturgie, projette de créer en France un centre de R&D dédié aux réservoirs de carburant.

 

Ceci fait suite à l’acquisition l’an dernier par l’équipementier lyonnais (pour 215 millions d’euros) des 50 % du capital que détenait le belge Solvay dans leur filiale commune Inergy Automotive, spécialisée dans les réservoirs de carburant.

 

Grâce à ce site, dont le lieu d'implantation sera défini cette année, le groupe pourra regrouper ses effectifs actuellement basés en Belgique, à Laval et à Chantilly, de sa branche Réservoirs de carburant, renommée désormais « PO Auto Inergy ».

 

Ce centre, qui pourrait compter entre 400 et 500 salariés, devrait être opérationnel en 2013. A noter que Sigmatech, le plus important centre de R&D Plasturgie (Division Auto Extérieur) du groupe est situé à Sainte-Julie (Ain) dans la grande banlieue lyonnaise. Pour autant, la région Rhône-Alpes ne devrait pas accueillir ce nouveau centre, mais rien n’est exclu.

 


Le groupe Plastic Omnium emploie 18 000 salariés dans ses 96 usines implantées dans le monde. Il a réalisé 3,25 milliards d'euros de chiffre d'affaires en 2010 (+ 32 % par rapport à 2009), à 40 % hors d'Europe. Pour l’an dernier, le bénéfice net s’élève à 150,7 millions d'euros (4,6 % du chiffre d'affaires), contre 31 millions en 2009.
 
http://www.usinenouvelle.com/article/l-equipementier-plastic-omnium-veut-muscler-sa-r-d.N148781

  

   

 

 

 

 

     lapresse-copie-1.jpg

 

Adhérer en ligne à la CGT

Bienvenue à la CGT

Comme plusieurs dizaines de milliers de salarié-e-s qui l’ont fait, vous envisagez de rejoindre la CGT.
Quelles que soient vos motivations, vous exprimez ainsi la volonté de ne pas rester isolé-e, d’être acteur, actrice de votre avenir, de prendre en main vos revendications.

Cliquez sur le lien ci-dessous :

http://www.cgt.fr/Adherer-en-ligne-a-la-CGT.html

Pour vous syndiquer, veuillez remplir et valider le formulaire.

   

     

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