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Blog CGT Inergy 2012(Groupe Plastic Omnium).....A Fonds Perdus......ou la Vision de L.Burelle et sa Vitrine....(02/02/2012)

Publié le par cgtinergy

La CGT

INERGY AUTOMOTIVE SYSTEMS

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    La CGT ne peut pas rester immobile...

 

Nous ne pouvons pas fermer les yeux devant cette situation

 

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Notre devoir, c'est d'agir

 

 D'agir dans l'intérêt général, d'agir avec justice, mais d'agir»...

 

Nous croyons  que la pire des injustices, c'est l'immobilisme

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Convaincus , Energiques , Déterminés

CGT Inergy (Groupe Plastic Omnium)

 

 

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La Vision de L.Burelle

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   La Vitrine de L.Burelle 

                                                

Vivre  et Travailler au Pays 

 

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Le Calendrier 2012

 

NégociationAnnuelleObligatoire2012

      Paris le 9 Février 2012

                  Paris le 16 Février 2012

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CCE Ordinaire du 24 Janvier 2011 

En Continuité du CCE du 6 Décembre 2011 Suspendu…

Motion du CCE votée dans sa réunion Ordinaire du 24 Janvier 2012

 

•         Le CCE a pris connaissance du rapport de la commission économique établi dans le cadre de la procédure de Droit d'Alerte (CCE du 26 Mai 2011) et de la lettre de mission du cabinet APEX (9 Septembre 2011).

 

•         Après son analyse, le CCE considère que les faits préoccupants porteurs de risques pour le niveau d’emploi, la pérennité des sites de production et centres de développement sont toujours actuels voire aggravés.

 

•         Le CCE constate notamment l’absence de réponse précise sur le devenir des Centres de Développement de Laval et de Compiègne.

 

•         A la vue des questions soulevées dans le cadre de la présentation du rapport sur le droit d’alerte et de l’annonce de reporter le projet de création d’un nouveau centre technique le CCE confirme sa volonté d’entendre M. Burelle sur cette décision.

 

•         Ces inquiétudes ont été renforcées par les déclarations de M. Lecocq au séminaire « Achat » de Décembre 2011. Il a annoncé l’ouverture du nouveau Centre Technique mi 2014.

 

•         Ces inquiétudes ont été renforcées par l’annonce dans la presse « Le courrier Picard du 17/12/2011 »d’un certain nombre d’éléments qui concernent l’acquisition du terrain ainsi que d’une possible extension et non communiqués au CCE.

 

•         Ces inquiétudes sont aussi confirmées dans le même article par les commentaires sur l’emploi et le devenir du site de Laval au travers de propos de personnalités comme les Maires de Venette et de Choisy au Bac ainsi que le Président de l’agglomération de Compiègne.

 

•         Le CCE condamne fermement l’annonce d’une éventuelle option de regroupement des Centres Techniques qui plonge encore davantage les salariés dans le doute et l’inquiétude devenus insupportables depuis déjà plusieurs mois.

 

•         En conséquence, les élus du CCE actent les réponses totalement insuffisantes au Droit d’Alerte, attendent une communication du Président L Burelle et se réservent le Droit d’engager une nouvelle procédure afin d’obtenir un éclairage au plus tôt.

 

•         Les élus du CCE proposent au vote une nouvelle suspension de cette séance du CCE dans l’attente renforcée d’une communication du Président Laurent BURELLE d’autant plus justifiée par ces nouvelles informations…………

 

Cette motion du CCE votée  dans sa réunion Extraordinaire du 24/01/2012.

 

Pour : 5 voix   Contre :   Abstention :

 

Ce sont Nos choix qui déterminent qui Nous sommes...

 

 

 

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Face au monde qui bouge,il vaut mieux penser le changement que changer le pansement... 

 

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Classes moyennes : « L'impression de payer à fonds perdus »

 

Elles font irruption dans la campagne après que Sarkozy a accusé Hollande de les sacrifier. Le sociologue Louis Chauvel intervient dans le débat, auprès de Books.

 

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Louis Chauvel : Le problème, en France, est que les classes moyennes tombent de plus haut. Dans les années 90 encore, aussi bien chez les sociologues Henri Mendras et Alain Touraine que dans la vision d'un Jacques Delors, la question sociale était marquée par l'opposition suivante :

  • d'un côté, les classes moyennes – deux Français sur trois, disait Giscard d'Estaing en 1977 – incarnaient le bel équilibre d'un confort intermédiaire, modeste et harmonieux ;
  • de l'autre, les extrêmes, à l'écart de ce monde parfait : les « nouveaux pauvres », qui en étaient exclus par le bas, et les privilégiés, qui en étaient exclus par le haut.

Ce beau rêve des classes moyennes stables et équilibrées, qui frise l'idéal social d'Aristote ou de Confucius, se délite et laisse place à une réalité plus inquiétante : aujourd'hui, c'est au centre même de la société que nous mesurons des tensions nouvelles, qui ne sont pas fantasmées et psychologiques, mais bien réelles.

Dans « Les Classes moyennes à la dérive », en 2006, j'ai utilisé la métaphore du morceau de sucre au fond de la tasse à café pour caractériser la dynamique sociale française : dans la partie haute du sucre, rien ne se passe, en apparence, alors que la déliquescence qui ronge les parties inférieures remonte progressivement par capillarité, et que tout l'édifice finira par s'écrouler si rien n'est fait.

En France, nous avons tendance à ne traiter des problèmes qu'avec retard :

  • il nous a fallu dix années de chômage de masse pour détecter enfin, au milieu des années1980, la « nouvelle pauvreté », et nous avons inventé le RMI en1989 ; il couvre aujourd'hui un million de personnes ;
  • il a fallu attendre le milieu des années1990, et Emmanuel Todd, pour prendre conscience de la nouvelle fracture sociale – la rupture entre les classes populaires et les classes moyennes ; pour colmater la brèche, nous avons inventé la CMU (quatre millions de bénéficiaires) et la prime pour l'emploi (neuf millions) ;
  • si nous allons au bout de cette logique, parvenus aujourd'hui au troisième stade que constitue la découverte des « classes moyennes à la dérive », je crains qu'il ne nous faille bientôt aider des dizaines de millions de nos concitoyens. Avec l'argent de qui ?

C'est là qu'est la clé du paradoxe français :

  • d'un côté, les inégalités de rémunération ont explosé avec une polarisation des revenus salariaux aussi forte qu'aux Etats-Unis, comme le montre [PDF] David Autor, du MIT. Il en résulte l'apparition d'un large sous-prolétariat exclu de l'« emploi décent », si l'on veut bien désigner ainsi le travail stable de niveau intermédiaire caractéristique de la société salariale des années 70 ;
  • d'un autre côté, la France fait partie des très rares pays développés où les inégalités de revenu disponible après impôt n'ont quasiment pas évolué en trente ans – si l'on oublie le patrimoine, bien sûr.

Cette stabilité serait une très bonne chose s'il s'agissait d'éviter les dégradations humaines et sociales liées à la pauvreté de masse telle qu'on peut l'observer dans des régions entières des Etats-Unis : Detroit, Baltimore ou Pittsburgh sont autant de noms qui évoquent l'horreur postindustrielle américaine.

Mais, du point de vue des classes moyennes au travail aujourd'hui – fonctionnaires, salariés du secteur privé ou chefs d'entreprise de taille intermédiaire –, ce très haut niveau de protection va de pair avec le sentiment de tenir la société à bout de bras (par les cotisations sociales, les impôts et les contributions de tous ordres) pour ne jamais, au bout du compte, jouir vraiment du système.

Pour ne rien dire des affres d'un monde du travail qui, dans le public comme dans le privé, apparaît comme un lieu de maltraitance systémique, où le management semble parfois vouloir dégoûter les salariés.

Beaucoup ont l'impression de payer à fonds perdus pour un système de santé dont on ne bénéficie jamais (en ville, où sont les généralistes à 23 euros disponibles hors des heures de bureau et que la mutuelle remboursera intégralement ? ), pour une retraite lointaine dont l'horizon s'éloigne à mesure que l'on s'en approche, pour un parc de logements sociaux où abondent les situations d'injustice flagrante.

Si les mannes célestes de l'Etat pourvoyeur de bien-être allaient réellement, en France, dans le sens de la justice sociale, dans un pays qui redistribue 56% de son PIB, il n'y aurait pas de problème. Mais les classes moyennes n'y croient plus.

Il règne, au cœur même de la société française, le sentiment obscur que personne ne bénéficie positivement du système alors que quelques-uns en abusent véritablement.

Pour le salarié de niveau intermédiaire, le travail régulier, qualifié, inscrit dans le long terme, ne rapporte plus : en 1970, la seule possession d'un diplôme permettait de se loger sans l'aide de personne ; en 2012, quel que soit le milieu social, le soutien des parents reste essentiel pour les moins de 50 ans.

En définitive, beaucoup peinent à comprendre comment, dans un pays où la dépense publique est si forte, les difficultés sociales peuvent être aussi prégnantes.

 

  

  

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NOTRE CONTRIBUTION AU DÉBAT POLITIQUE

La CGT a l’intention de participer au débat public lors de la campagne des élections présidentielles.

Nous livrerons nos critiques sur le mandat du Président Sarkozy et avancerons nos analyses au moment opportun.

Nous ne sommes jamais aussi efficaces et compris par le monde du travail, que lorsque nous assumons nos responsabilités de syndicat.

La liberté d’engagement politique est entière pour les syndiqués CGT et ses dirigeants,

Il nous revient, a fortiori dans une période électorale, de garantir l’unité dans le syndicat et veiller au respect des différentes sensibilités.

Nous continuerons à être intransigeants pour combattre les thèses nauséabondes du Front national qui s’opposent aux valeurs de progrès social et de solidarité entre travailleurs, quelques soient leurs nationalités, leurs origines et leurs confessions.

 

 

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Les Syndicats CGC / FO et CFTC

ont signé l'Accord GPEC 

 

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Grand Programme d’Expulsion vers le Chômage 

 le 14/12/2010

     

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Faites gaffe à la Presse ! 

 

Surtout, ne répondez pas aux sollicitations des journalistes.

 

 On se remet toujours d’une interview qu’on n’a pas faite.

 

Mais on ne se remet jamais d’une interview ratée.

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La Presse...  

L'équipementier Plastic Omnium

 veut muscler sa R&D

Le 23 mars 2011 par Michel Quéruel (Rhône-Alpes)

 

Investissement. Fortement stimulé par la reprise du marché automobile mondial, le groupe Plastic Omnium, spécialisé dans les équipements automobiles et la plasturgie, projette de créer en France un centre de R&D dédié aux réservoirs de carburant.

 

Ceci fait suite à l’acquisition l’an dernier par l’équipementier lyonnais (pour 215 millions d’euros) des 50 % du capital que détenait le belge Solvay dans leur filiale commune Inergy Automotive, spécialisée dans les réservoirs de carburant.

 

Grâce à ce site, dont le lieu d'implantation sera défini cette année, le groupe pourra regrouper ses effectifs actuellement basés en Belgique, à Laval et à Chantilly, de sa branche Réservoirs de carburant, renommée désormais « PO Auto Inergy ».

 

Ce centre, qui pourrait compter entre 400 et 500 salariés, devrait être opérationnel en 2013. A noter que Sigmatech, le plus important centre de R&D Plasturgie (Division Auto Extérieur) du groupe est situé à Sainte-Julie (Ain) dans la grande banlieue lyonnaise. Pour autant, la région Rhône-Alpes ne devrait pas accueillir ce nouveau centre, mais rien n’est exclu.

 


Le groupe Plastic Omnium emploie 18 000 salariés dans ses 96 usines implantées dans le monde. Il a réalisé 3,25 milliards d'euros de chiffre d'affaires en 2010 (+ 32 % par rapport à 2009), à 40 % hors d'Europe. Pour l’an dernier, le bénéfice net s’élève à 150,7 millions d'euros (4,6 % du chiffre d'affaires), contre 31 millions en 2009.
 http://www.usinenouvelle.com/article/l-equipementier-plastic-omnium-veut-muscler-sa-r-d.N148781

  

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Adhérer en ligne à la CGT

Bienvenue à la CGT

Comme plusieurs dizaines de milliers de salarié-e-s qui l’ont fait, vous envisagez de rejoindre la CGT.
Quelles que soient vos motivations, vous exprimez ainsi la volonté de ne pas rester isolé-e, d’être acteur, actrice de votre avenir, de prendre en main vos revendications.

Cliquez sur le lien ci-dessous :

http://www.cgt.fr/Adherer-en-ligne-a-la-CGT.html

Pour vous syndiquer, veuillez remplir et valider le formulaire.

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