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Blog CGT Inergy .....La France mal Classée....(13/12/2010 )

Publié le par cgtinergy

La CGT

INERGY AUTOMOTIVE SYSTEMS

 

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Inergy Automotive Systems

 

Le 14 Décembre 2010 Réunion du Comité Central d'Entreprise (CCE)

 

 

 

     

  

  

Enfants pauvres : la France mal classée

La France est sous la moyenne des pays de l'OCDE en matière de santé. Elle se classe à l'avant-dernière place pour les résultats scolaires.

Une étude menée pour l'Unicef sur les enfants pauvres dans les 24 pays de l'OCDE, et publiée vendredi 3 décembre, montre que "les pays riches laissent tomber les enfants les plus pauvres", notamment la France, mal classée.

Le centre de recherche Innocenti, basé à Florence (Italie), et travaillant pour l'Unicef (Fonds des Nations Unies pour l'enfance), classe les pays les plus riches en fonction du bien-être matériel, de la santé et de l'éducation des enfants les plus défavorisés vivant sur leur sol.

Si en matière de bien-être matériel, la France s'en sort honorablement (5e place sur 24), grâce aux prestations sociales et aux avantages fiscaux, elle n'arrive qu'en 15e position -sous la moyenne OCDE- en matière de santé et se classe à l'avant-dernière place (23e) pour les résultats scolaires.

Suisse, Pays-Bas et Finlande en tête des classements

Les pays riches les mieux ou les plus mal classés varient en fonction des trois domaines étudiés: la Suisse est en tête pour le bien-être matériel, les Pays-Bas pour la santé et la Finlande pour l'éducation. La Slovaquie, la Hongrie et la Belgique arrivent au dernier rang respectivement dans ces trois secteurs.

"L'intention du rapport "les enfants laissés pour compte" est de mesurer le fossé entre l'enfant moyen et l'enfant situé au bas de l'échelle", indique l'Unicef dans un communiqué.

L'étude a été menée avant la crise financière de 2008, ce qui signifie que la situation de ces enfants les plus défavorisés dans les pays riches s'est sans doute encore dégradée.

"Dans les périodes difficiles les enfants les plus pauvres devraient être les premiers à bénéficier d'une protection, non les derniers à être pris en considération", affirment les auteurs du rapport.

Prendre en compte les difficultés des enfants pauvres revêt aussi un intérêt économique, selon le rapport.

"Les inégalités qui frappent les enfants du bas de l'échelle se soldent à court terme par une facture supportée par les contribuables sous la forme d'une pression accrue sur les hôpitaux et services de santé, le rattrapage scolaire, l'aide sociale", argumente l'Unicef.

Détails de l'étude

Dans le domaine du bien-être matériel l'étude prend en compte le revenu des ménages, l'accès aux ressources pédagogiques élémentaires, et les conditions de logement, principalement l'espace vital dont disposent les enfants.

En matière de santé, l'étude porte sur les habitudes alimentaires, la fréquence d'une activité physique intense (la France est bonne dernière en matière de sport pour les enfants les plus pauvres), et sur les problèmes de santé signalés par les enfants eux-mêmes.

Enfin, pour l'éducation, les indicateurs utilisés sont les compétences en lecture, en mathématiques et en sciences pour les adolescents scolarisés âgés de 15 ans.

Ce rapport étant surtout une "photographie", un autre rapport, l'an prochain "cherchera à comprendre les raisons pour lesquelles ces enfants pauvres sont laissés pour compte dans les pays riches", a indiqué Leonardo Menchini, chercheur du centre Innocenti.

 

 

 

 

 

 

 

        

 

 

Communiqué de la CGT Inergy sur la GPEC

 

Grand Programme d’Expulsion vers le Chômage.


La Direction a, de nouveau rencontré, ce 26 octobre 2010, les partenaires sociaux au cours d’une quatrième réunion paritaire consacrée au thème de la Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences.

 

Cette réunion faisait suite à celle du 6 octobre 2010 et à l’envoi, par la direction, d’un projet d’accord modifié.

 

Pour la CGT Inergy, Ce projet d’accord n’a malheureusement toujours pas évolué favorablement pour les salariés et reste toujours que la pâle copie d’un PSE (Plan social) où la stratégie d’entreprise, socle indispensable, n’est toujours pas clairement affichée.

 

Face à l’insistance des représentants CGT du Personnel  pour engager une véritable discussion pour une véritable Gestion Prévisionnelle de l’ Emploi et des Compétences, la direction a explicitement confirmé que ce projet d’accord ne pouvait traiter de l’emploi chez Inergy, mais uniquement de l’employabilité, surtout et principalement de l’employabilité en externe…

 

Inergy confirme clairement ne pouvoir et ne vouloir garantir l’emploi, mais de s’organiser pour prévoir d’en gérer les conséquences et de préparer, à moindre coût, les salariés

 au départ vers le POLE EMPLOI…

 

Toujours pas un mot sur une possible ré-industrialisation, son organisation, son financement, ….mais la confirmation qu’elle n’était pas dans la stratégie d’INERGY Automotive Systems

Les récentes décisions de refuser d’investir dans la technique d’injection et la production de pièces autres que les réservoirs et les tubulures le concrétisent parfaitement et sans équivoque….

 

Toujours pas un mot, sur un possible équilibrage inter sites des charges, pas un mot sur de possibles relocalisations de produits, pas un mot sur la recherche et le développement de nouvelles filières….mais la confirmation d’un partage de la pénurie.…..

 

Par ce possible accord, Inergy se satisfait pleinement de mesures d’accompagnement de ses salariés vers le Pôle Emploi.

En effet, Inergy veut, avec l’utilisation des budgets formation et de mesures déjà existantes, se soustraire à son obligation légale du maintien de l’emploi au travers d’une GPEC dont l’objectif n’est que de se séparer, à moindre coût, du personnel dont il prévoit de supprimer l’activité.

 

Un engagement, un contrat d’emploi à durée indéterminée a été passé avec les salariés, l’employeur se doit de le respecter et doit s’engager dans une démarche active et volontaire de maintien de l’emploi et afficher une stratégie offensive dans ce sens.

C’est de sa responsabilité et ce qu’attend la CGT Inergy dans un accord de GPEC.

 

La CGT appelle vivement la Direction d’INERGY Automotive Systems à s’engager dans un

Grand Programme d’Evolution de Carrières

 

La CGT refuse tout plan social déguisé, par anticipation et à moindre coût, et refuse de  cautionner un 

Grand Programme d’Expulsion vers le Chômage.

 

La validation d’un tel accord mis, dès à présent, à l’approbation des partenaires sociaux, engagerait gravement la responsabilité des signataires.

 

 

  

 

 

 

     

La CGT ne peut pas rester immobile...

 

Nous ne pouvons pas fermer les yeux devant cette situation

 

Notre devoir, c'est d'agir

 

 D'agir dans l'intérêt général, d'agir avec justice, mais d'agir»...

 

Nous croyons  que la pire des injustices, c'est l'immobilisme

 

 

   

Les sept pêchés capitaux d’Inergy

  Le Premier La Gourmandise avec en 2007 pour Inergy management  7,315 Millions d’euros de charge de personnel pour un effectif de 40 personnes et en 2008 : 7,403 Millions d’euros de charge de personnel pour un effectif de 39 personnes.

  En 2009 : 8,135 Millions d’euros de charge de personnel pour un effectif de 36 personnes.

Nous vous laissons le soin de calculer vous-même

 le montant par personne et par mois !!!!

Moins ils sont,plus ils gagnent.... 

 

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L'Avenir d'Inergy Laval !!!

Avec quel plan de charge ???

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Le 10 Septembre en réunion extraordinaire du CE,les élus CGT consultés par la Direction sur le départ de la presse 11,ont fait part de leur inquiétude de la dégradation du plan de charge pour les années 2011/2012 et 2013 avec une perte "record" de plus de 58% sur les tubulures en 2013 et de plus de 40% sur l'ensemble des volumes...

Les membres CGT au CE attendent de la Direction des engagements de rééquilibrage du plan de charge permettant le maintien de l'effectif actuel déjà dégradé...

Et par là-même,de pouvoir émettre un avis sur l'opportunité de se séparer de moyens de production...

  

 

 

FAP  BVH2’ ne sera pas produit à LAVAL …

                  et…nous n’avons plus…la KAUTEX  11  … 

  Depuis plusieurs mois, la production de ce  Filtre A  Particules  PSA a bien été attribuée à INERGY Automotive Systems France.

 

Ce FAP qui est destiné à équiper les véhicules de la plate forme BVH2’, dont INERGY Automotive Systems France a déjà a en charge de produire les Circuits à Carburant, a fait l’objet d’une analyse sur l’opportunité de le produire en totalité en interne.

 

Trois sites INERGY Automotive Systems, Laval, Pfastatt et Vigo, proches des usines PSA, sont retenus pour produire la première phase des Circuits à Carburants BVH2’ pour laquelle nous avons déjà le marché, dans l’attente de l’attribution définitive de la seconde phase qui nous garantirait un confortable complément de volumes.   

 

Pour satisfaire aux exigences de ce marché, 3 alternatives possibles avaient été retenues et une étude approfondie a été réalisée pour comparer ces 3 options :

-         Production totale en interne à Laval avec livraison des 2 autres sites.

-         Achat à l’extérieur du FAP avec achèvement et remplissage à Pfastatt et livraison des 2 autres sites.

-         Achat en totalité en externe avec livraison sur les 3 sites de production Inergy.

 

Les conclusions de cette étude comparative auraient démontré que, malgré des

investissements un peu plus conséquents, la production en interne à Laval s’avérait globalement la plus compétitive.

  

            La décision retenue de sous-traiter la production de ce FAP et de ne conserver que l’opération de remplissage sur le site de Pastatt suscite, sur le site de Laval, une amère  déception engendrée par une totale incompréhension accentuée par un terrible sentiment d’injustice.

 

         La reconnaissance, maintes fois répétée par la direction de Laval et maintenant direction générale France ainsi que des dirigeants d’Inergy, de la compétence et de la compétitivité de notre site de Laval ne recueille, encore une fois, aucune considération industrielle et humaine, mais qu’une cruelle réalité.

    

            Dans le contexte difficile d’ INERGY Automotive Systems France avec ses baisses continues de volumes et par voie de conséquence de ses effectifs, et après avoir, encore une fois, laisser croire à une réelle possibilité de recréer de l’activité en France par un élargissement de nos capacités de production, une telle décision nous oblige de douter de la volonté d’INERGY Automotive Systems, de développer les moyens industriels nécessaires aux 3 sites industriels équilibrés annoncés par la direction.  

 

            De plus les récents et graves incidents de qualité sur des pièces techniques de type clapets sous-traitées doivent nous interroger sur les risques des productions en externe de pièces et produits sensibles qu’Inergy est en mesure de maîtriser en interne.

   

            Encore une fois, la direction d’INERGY, malgré une réelle compétitivité de notre site mise en évidence à sa demande, et qu’elle a reconnue, refuse d’affecter la production d’un nouveau produit complémentaire aux systèmes à carburant dont INERGY Automotive Systems s’honore d’être le leader sur ce marché.  

 

            Par cette outrageuse et fâcheuse décision, nos dirigeants confirment sans équivoque et concrétisent leur refus d’investir dans cette technique d’injection qui nous permettrait de développer davantage cette activité à LAVAL, et d’élargir ainsi notre capacité industrielle essentielle pour la pérennisation et le devenir de notre site. 

 

            Nous demandons vivement à notre direction de bien vouloir prendre la mesure des terribles conséquences dont elle serait tenue responsable et de reconsidérer, dès à présent, sa position dans un souci de cohérence industrielle et humaine qui, nous en sommes convaincus, ne pourra qu’être bénéfique pour INERGY Automotive Systems et l’ensemble de son personnel.  

 

 

 

  

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