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Blog CGT Inergy 2012(Groupe Plastic Omnium).....Une Nouvelle Suspension....Contrat Social Européen......ou la Vision de L.Burelle et sa Vitrine....(05/01/2012)

Publié le par cgtinergy

La CGT

INERGY AUTOMOTIVE SYSTEMS

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    La CGT ne peut pas rester immobile...

 

Nous ne pouvons pas fermer les yeux devant cette situation

 

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Notre devoir, c'est d'agir

 

 D'agir dans l'intérêt général, d'agir avec justice, mais d'agir»...

 

Nous croyons  que la pire des injustices, c'est l'immobilisme

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Convaincus , Energiques , Déterminés

CGT Inergy (Groupe Plastic Omnium)

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La Vision de L.Burelle

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   La Vitrine de L.Burelle 

                                                

Vivre  et Travailler au Pays 

 

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Une Nouvelle Suspension …..Du CCE Ordinaire du 4 Janvier 2012….

Le CCE vote une motion à l’Unanimité…

 

Motion du CCE votée dans sa réunion Ordinaire du 04/01/2012

 

•         Le CCE a pris connaissance du rapport de la commission économique établi dans le cadre de la procédure de Droit d'Alerte (CCE du 26 Mai 2011) et de la lettre de mission du cabinet APEX (9 Septembre 2011).

 

•         Après son analyse, le CCE considère que les faits préoccupants porteurs de risques pour le niveau d’emploi, la pérennité des sites de production et centres de développement sont toujours actuels voire aggravés.

 

•         Le CCE constate notamment l’absence de réponse précise sur le devenir des Centres de Développement de Laval et de Compiègne.

 

•         A la vue des questions soulevées dans le cadre de la présentation du rapport sur le droit d’alerte et de l’annonce de reporter le projet de création d’un nouveau centre technique le CCE confirme sa volonté d’entendre M. Burelle sur cette décision.

 

•         Ces inquiétudes ont été renforcées par les déclarations de M. Lecocq au séminaire « Achat » de Décembre 2011. Il a annoncé l’ouverture du nouveau Centre Technique mi 2014.

 

•         Ces inquiétudes ont été renforcées par l’annonce dans la presse « Le courrier Picard du 17/12/2011 »d’un certain nombre d’éléments qui concernent l’acquisition du terrain ainsi que d’une possible extension et non communiqués au CCE.

 

•         Ces inquiétudes sont aussi confirmées dans le même article par les commentaires sur l’emploi et le devenir du site de Laval au travers de propos de personnalités comme les Maires de Venette et de Choisy au Bac ainsi que le Président de l’agglomération de Compiègne.

 

•         En conséquence, les élus du CCE proposent au vote une nouvelle suspension de cette séance du CCE dans l’attente renforcée d’une communication du Président Laurent BURELLE d’autant plus justifiée par ces nouvelles informations………… .

 

 

Cette motion du CCE a été votée  à l’unanimité dans sa réunion Ordinaire du 04/12/2012.

 

Pour :5 voix   Contre :0   Abstention :0

 

 

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Le Calendrier 2012

 

Ce sont Nos choix qui déterminent qui Nous sommes...

 

 

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Face au monde qui bouge,il vaut mieux penser le changement que changer le pansement... 

 

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Pour un nouveau
contrat social européen

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L’Union Européenne traverse la crise la plus profonde de son histoire. Une crise financière et économique, qui a des conséquences sociales lourdes, mais qui est aussi devenue une crise politique de l’UE elle-même.

 

La situation est véritablement alarmante car les graves problèmes de financement qui ont fait surface dans plusieurs États pourraient provoquer une réaction en chaîne et déclencher une nouvelle récession généralisée.

 

Qui aurait pensé, il y a deux ans à peine, que tant de voix, parfois qualifiées, pourraient envisager une rupture de l’euro ? Un tel scénario, nous le savons, lui ferait perdre tout son sens, voire détruirait le projet européen lui-même qui constitue sans doute une des constructions politiques les plus importantes du XXe siècle.

 

Comment a-t-on pu en arriver là ? La responsabilité des dirigeants politiques des institutions européennes et des principales nations est très importante. Après deux ans de tergiversations, de contradictions constantes et de politiques erronées, le problème initial – la crise financière en Grèce, dont le PIB ne représente que 2% du PIB de l’UE - n’est toujours pas résolu. La crise de la dette a gagné de nombreux pays : l’Irlande et le Portugal sont sous perfusion, et les spéculateurs s’attaquent aujourd’hui à l’Italie et l’Espagne, pour lesquels une intervention serait beaucoup plus difficile compte tenu de la taille de leur économie, et la crise commence à attaquer, entre autres, la Belgique et la France.

 

Le virage politique radical du Conseil de l’Europe, le 9 mai 2010, avait été qualifié de nécessaire pour récupérer la confiance des marchés financiers et permettre à leurs agents de financer les États européens à des taux d’intérêt raisonnables. Depuis cette date, le Conseil, la Commission et la BCE ont promu, ou imposé, des politiques d’austérité axées sur la réduction des dépenses publiques ainsi que les fameuses « réformes structurelles » consacrées dans le Plan de gouvernance économique et le Pacte pour l’euro plus. Le prochain sommet du Conseil européen, le 9 décembre, lancera le débat de la réforme du Traité de Lisbonne pour situer ces politiques au cœur d’une gouvernance économique renforcée de la zone Euro.

 

Le fait est que ces politiques ont échoué. Sur le plan économique, la crise des dettes souveraines s’est propagée et aggravée, la croissance a brusquement chuté dans presque tous les États et le chômage a augmenté dans les pays où les restrictions budgétaires ont été les plus sévères. Les conséquences sociales de la baisse des salaires et des retraites et des compressions des dépenses de protection sociale, d’éducation et de santé sont évidentes : une pauvreté accrue, de nouvelles inégalités, une augmentation de la précarité et une forte érosion de la cohésion sociale. Parallèlement, la solidarité entre les nations s’effrite alors qu’elle est le ciment indispensable de tout projet européen. Des pans de plus en plus importants de la population lui tournent le dos ou s’en méfient. Les idées reçues et les vieux clichés négatifs qui opposent les nations et leurs habitants entre eux refont surface.

Fait inédit, les institutions européennes encouragent une profonde érosion du modèle social, dont les valeurs et les principes sont le signe d’identité et la colonne vertébrale de l’Union européenne, ce modèle dont les valeurs et les principes sont inscrits dans le Traité de Lisbonne.

 

Les dirigeants politiques de l’Europe ne sont peut-être pas conscients d’un fait très grave : les institutions européennes et de nombreuses nations sont en train de briser le pacte social qui avait permis, après la Seconde Guerre mondiale, de construire les Etats Providence européens et le projet commun qui a abouti à l’Union européenne. Le syndicalisme européen, regroupé au sein de la Confédération européenne des syndicats (CES), a fermement rejeté ces politiques et s’est mobilisé à leur encontre, en Europe et dans de nombreux États. Il n’a pas été entendu jusqu’à présent, alors que les faits cautionnent ses analyses et ses propositions. Malgré le désenchantement profond ressenti par de nombreux travailleurs, nous continuons de soutenir qu’il n’y a pas d’autre solution que l’approfondissement du projet européen, mais avec des formules bien différentes des politiques erronées et injustes que les actuels responsables européens nous imposent. L’heure n’est pas venue de s’en remettre à des gouvernements de technocrates, il faut que la démocratie sociale et politique, ainsi que la participation des citoyens prennent toute leur place.

 

Que proposons-nous pour sortir de cette crise économique et politique de l’UE ? D’abord, en finir avec les mécanismes de spéculation, et garantir la capacité financière de tous les États membres en apportant un remède définitif à la crise du financement des états. Comment peut-on expliquer que les États-Unis, dont les principaux indicateurs se portent plus mal que ceux de l’ensemble de l’UE, et le Japon, dont la dette publique a atteint 225% du PIB, puissent émettre des obligations à dix ans à des taux d’intérêt inférieurs à 2% alors que certaines nations de la zone euro sont contraintes d’emprunter à des taux de 7% ? La réponse est simple : nous n’agissons pas comme une véritable Union. La seule annonce, crédible, d’une garantie absolue des dettes des Etats mettrait un frein à la spéculation des marchés. Cette garantie pourrait se matérialiser par l’émission d’euro-obligations et la transformation de la BCE en prêteur en dernier ressort.

 

Le syndicalisme européen, lui aussi, est vivement préoccupé par la stabilité des finances publiques. Mais on ne peut atteindre les objectifs de réduction des déficits et des dettes en anéantissant les économies. Le défi, relevable, est d’y parvenir dans des délais réalistes tout en prenant des mesures, européennes et nationales, pour promouvoir la croissance économique et la création d’emploi. Il est inquiétant que les responsables politiques européens, confrontés au risque élevé d’une nouvelle récession, continuent de se taire sur la croissance et l’emploi et les ignorent dans leurs propositions de renforcement de la gouvernance économique. La reprise ne peut être impulsée par des réformes structurelles fondées sur la compression des dépenses sociales, une notion de la compétitivité orientée vers la déflation des coûts du travail, l’affaiblissement des capacités de négociation collective et l’amoindrissement de la force contractuelle des syndicats.

 

 

 Les élus européens devraient être conscients qu’ils ne peuvent pas continuer à ignorer les opinions et les propositions constructives de ceux qui représentent le principal facteur de création de richesses : le travail.

 

Il faut établir un nouveau contrat social et économique avec la participation active des partenaires sociaux. Un contrat social européen novateur ayant comme grands chapitres, entre autres : l’emploi, les salaires ― que les partenaires sociaux doivent négocier de façon autonome ― les retraites, les allocations de chômage, l’éducation et la santé.
Le pacte fiscal, les politiques de redistribution des richesses, le droit du travail et la négociation collective en ont été le ciment de la plus longue période de prospérité économique et de démocratie en Europe. Ce ciment a soudé des relations du travail modernes permettant une forte implication des travailleurs, par le biais de leurs organisations, dans la vie des entreprises. Ce n’est qu’en nous appuyant sur ces valeurs et ces principes démocratiques qui ont défini le modèle social européen que nous pourrons sortir au plus tôt de la crise avec plus de justice, et ainsi garantir la survie, aujourd’hui gravement menacée, de l’Union européenne elle-même.

 

Nous exigeons qu’une future révision des Traités se fasse en intégrant la dimension sociale. Nous avons besoin d’une clause générale de progrès social qui mette en place un ‘plan de sauvetage social’ qui mette l’Europe sur la voie du progrès social. Les droits sociaux fondamentaux, notamment en ce qui concerne la négociation collective, doivent être respectés et inclus dans toutes les mesures anticrise. Face à ceux qui veulent changer les Traités uniquement pour renforcer le Pacte de Stabilité, nous considérons que leur modification, même limitée, ne peut avoir pour seuls objectifs d’exercer une pression constante sur les budgets nationaux et le renforcement de l’austérité.

 

Le progrès de l’Union européenne doit se baser sur la cohésion sociale et la solidarité en interne dans les Etats membres, et dans la solidarité et la cohésion politique entre eux. Pour y arriver, en ces moments difficiles, il faut agir dans un cadre commun européen et ainsi renforcer le dialogue social. C’est pour cela que nous faisons ces propositions, en exigeant que l’on ne marginalise pas les travailleurs dans la recherche de solutions, et en manifestant la volonté de nous mobiliser dans un cadre européen pour l’obtenir.

 

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 Ignacio Fernández Toxo, Secrétaire général de CCOO (Espagne)
 Cándido Mendez, Secrétaire général de l’UGT (Espagne)
 Michael Sommer, Président du DGB (Allemagne)
 Susanna Camusso, Secrétaire général de la CGIL (Italie)
 
Bernard Thibault, Secrétaire général de la CGT (France)
 François Chérèque, Secrétaire général de la CFDT (France)
 Anne Demelenne, Secrétaire général de la FGTB (Belgique)
 Claude Rolin, Secrétaire général de la CSC (Belgique)

 

  

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NOTRE CONTRIBUTION AU DÉBAT POLITIQUE

La CGT a l’intention de participer au débat public lors de la campagne des élections présidentielles.

Nous livrerons nos critiques sur le mandat du Président Sarkozy et avancerons nos analyses au moment opportun.

Nous ne sommes jamais aussi efficaces et compris par le monde du travail, que lorsque nous assumons nos responsabilités de syndicat.

La liberté d’engagement politique est entière pour les syndiqués CGT et ses dirigeants,

Il nous revient, a fortiori dans une période électorale, de garantir l’unité dans le syndicat et veiller au respect des différentes sensibilités.

Nous continuerons à être intransigeants pour combattre les thèses nauséabondes du Front national qui s’opposent aux valeurs de progrès social et de solidarité entre travailleurs, quelques soient leurs nationalités, leurs origines et leurs confessions.

 

 

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Plastic Omnium

INERGY Automotive Systems

La Bourse ou L’Emploi ?

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Les Syndicats CGC / FO et CFTC

ont signé l'Accord GPEC 

 

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Grand Programme d’Expulsion vers le Chômage 

 le 14/12/2010

     

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Faites gaffe à la Presse ! 

 

Surtout, ne répondez pas aux sollicitations des journalistes.

 

 On se remet toujours d’une interview qu’on n’a pas faite.

 

Mais on ne se remet jamais d’une interview ratée.

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La Presse...  

L'équipementier Plastic Omnium

 veut muscler sa R&D

Le 23 mars 2011 par Michel Quéruel (Rhône-Alpes)

 

Investissement. Fortement stimulé par la reprise du marché automobile mondial, le groupe Plastic Omnium, spécialisé dans les équipements automobiles et la plasturgie, projette de créer en France un centre de R&D dédié aux réservoirs de carburant.

 

Ceci fait suite à l’acquisition l’an dernier par l’équipementier lyonnais (pour 215 millions d’euros) des 50 % du capital que détenait le belge Solvay dans leur filiale commune Inergy Automotive, spécialisée dans les réservoirs de carburant.

 

Grâce à ce site, dont le lieu d'implantation sera défini cette année, le groupe pourra regrouper ses effectifs actuellement basés en Belgique, à Laval et à Chantilly, de sa branche Réservoirs de carburant, renommée désormais « PO Auto Inergy ».

 

Ce centre, qui pourrait compter entre 400 et 500 salariés, devrait être opérationnel en 2013. A noter que Sigmatech, le plus important centre de R&D Plasturgie (Division Auto Extérieur) du groupe est situé à Sainte-Julie (Ain) dans la grande banlieue lyonnaise. Pour autant, la région Rhône-Alpes ne devrait pas accueillir ce nouveau centre, mais rien n’est exclu.

 


Le groupe Plastic Omnium emploie 18 000 salariés dans ses 96 usines implantées dans le monde. Il a réalisé 3,25 milliards d'euros de chiffre d'affaires en 2010 (+ 32 % par rapport à 2009), à 40 % hors d'Europe. Pour l’an dernier, le bénéfice net s’élève à 150,7 millions d'euros (4,6 % du chiffre d'affaires), contre 31 millions en 2009.
 http://www.usinenouvelle.com/article/l-equipementier-plastic-omnium-veut-muscler-sa-r-d.N148781

  

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Adhérer en ligne à la CGT

Bienvenue à la CGT

Comme plusieurs dizaines de milliers de salarié-e-s qui l’ont fait, vous envisagez de rejoindre la CGT.
Quelles que soient vos motivations, vous exprimez ainsi la volonté de ne pas rester isolé-e, d’être acteur, actrice de votre avenir, de prendre en main vos revendications.

Cliquez sur le lien ci-dessous :

http://www.cgt.fr/Adherer-en-ligne-a-la-CGT.html

Pour vous syndiquer, veuillez remplir et valider le formulaire.

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