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Blog CGT Inergy 2011(Groupe Plastic Omnium).....Levons les Barrières......ou la Vision de L.Burelle et sa Vitrine....(02/11/2011 )

Publié le par cgtinergy

La CGT

INERGY AUTOMOTIVE SYSTEMS

    La CGT ne peut pas rester immobile...

 

Nous ne pouvons pas fermer les yeux devant cette situation

 

 

Notre devoir, c'est d'agir

 

 D'agir dans l'intérêt général, d'agir avec justice, mais d'agir»...

 

Nous croyons  que la pire des injustices, c'est l'immobilisme

 

Convaincus , Energiques , Déterminés

CGT Inergy (Groupe Plastic Omnium)

 

 

 

 

La Vision de L.Burelle

  

   La Vitrine de L.Burelle 

                                                

Vivre  et Travailler au Pays 

 

  

 

Le Calendrier 2011

 

Ce sont Nos choix qui déterminent qui Nous sommes...

 

 

   CE/DP Laval le 07 Novembre 2011    

    CCE Ordinaire le 06 Décembre 2011

  

  CCE Extraordinaire le 27 Octobre 2011

 

Ordre du Jour :

 

Information générale sur le Projet de construction d’un nouveau centre technique.

 

Dernière minute :

Annulation sans (con)sommation

 

En fin de réunion CCE du 21 Octobre 2011,la Direction Inergy a informé celui-ci de l’annulation de la Réunion du 27 Octobre 2011 dont l’ordre du jour était :Information générale sur le Projet de construction d’un nouveau centre Technique, pour cause d’un dossier non finalisé….

Cette nouvelle attente permettra sans doute de consommer (sans modération) du médical à tout va,… médecin, infirmière, psychologues, assistant social…….

 

Face au monde qui bouge,il vaut mieux penser le changement que changer le pansement... 

 

 

 

 Levons les barrières à l'emploi !

Le chômage, en France, touche en premier lieu les jeunes. Sur le total officiel de 2,5 millions de chômeurs, plus de 1 million ont moins de 30 ans, soit un taux de chômage de 17,4 % contre 9,1 % pour l'ensemble de la population active. Quant aux jeunes de moins de 30 ans dépourvus de diplôme, leur taux de chômage est de 35 % et atteint 40 % dans certains quartiers. L'insertion des jeunes dans le marché de l'emploi est une priorité nationale.

 

Pour beaucoup d'entre eux, il est trop tard pour entrer en apprentissage ou obtenir un diplôme professionnel. Ils ont besoin de travailler tout de suite, quitte à compléter plus tard leur formation. Leurs chances de trouver un emploi salarié sont faibles. Or, la réglementation, qui prévoit la même durée de formation et le même niveau de diplôme pour les activités appartenant au même secteur, représente un obstacle à la création de petites activités économiques.

 

Quelles que soient la complexité de la tâche et le risque pour le consommateur, l'exigence est toujours la même : trois ans de formation, qu'il s'agisse d'un mécanicien auto ou d'un réparateur de vélos, d'un paysagiste ou d'un tondeur de pelouse. Ces barrières brident l'initiative des jeunes en les empêchant de se diriger vers des secteurs porteurs et notamment l'écodéveloppement.

 

 Faut-il exclure les jeunes et les personnes peu qualifiées du marché du travail, au risque d'alourdir le poids du chômage sur l'économie et la désespérance de ceux qui le subissent, ou adapter la formation aux besoins réels des microentrepreneurs, en respectant à la fois le droit d'entreprendre et la sécurité des consommateurs ?

 

Nous pensons que la révision du décret du 2 avril 1998, qui fixe le même niveau de qualification pour les activités réglementées par la loi du 5 juillet 1996 relative à la promotion du commerce et de l'artisanat, est une bonne réponse. Au-delà de son effet dévastateur sur l'emploi des jeunes, cette réglementation a deux autres conséquences négatives.

Elle crée une distorsion entre l'offre, encadrée par la loi, et la demande insatisfaite des petites prestations qui n'intéressent pas les artisans, aboutissant, in fine, à une rétention de la croissance. De plus, l'absence d'une libre confrontation entre l'offre et la demande provoque une augmentation de prix indépendante de la qualité du travail. Des solutions à l'emploi des jeunes et des adultes peu qualifiés existent.

 

L'une d'entre elles est la microfranchise solidaire pour faciliter la création d'entreprise par ceux qui n'ont pas l'expérience pour se lancer seuls.

 

 N'attendons pas une explosion sociale pour lever les barrières à l'emploi, qui limitent le droit d'entreprendre.

 

 

 

  

 

 

 

 

 

Boite aux Images Politique…

 

 

Budget - Jean Arthuis : "Les décisions que nous prenons ne sont pas à la hauteur"

 

La croissance mondiale s'effondre. Au point que les économistes les plus pessimistes prédisent maintenant la récession. Qu'à cela ne tienne, le gouvernement fait voter un projet de loi de finances pour 2012 reposant sur une hypothèse de croissance de 1,75 %. Au risque de devoir faire examiner de nouvelles mesures d'austérité, juste après le sommet européen de mercredi. Jean Arthuis, ancien président et membre Alliance centriste de la commission des Finances du Sénat, critique cette stratégie.

 

Le gouvernement ne devrait-il pas revoir sa prévision de croissance sans attendre ?

Jean Arthuis : Si, sans doute. Ce n'est pas faute d'avoir alerté à ce sujet. Cela concerne le gouvernement, mais aussi le Parti socialiste d'ailleurs, qui a fondé son programme sur une hypothèse de croissance de 2,5 %, alors que, depuis dix ans, nous nous traînons autour de 1 %.

 

Cela prouve qu'il ne faut pas laisser au gouvernement le soin de fixer les hypothèses macroéconomiques. Je suis favorable à l'institution d'une autorité indépendante pour préparer les prévisions budgétaires.

 

Ne faut-il pas attendre de savoir ce qui sera décidé pour régler la crise de l'euro, comme l'explique le gouvernement ?

 

Non. De toute façon, l'ampleur de nos déficits est telle que les décisions que nous prenons collectivement ne sont pas à la hauteur. Ce sont des décisions de compromis, en partie de simples mesures cosmétiques.

 

Concrètement, combien nous faudrait-il trouver pour tenir les objectifs de réduction du déficit ?

 

Étant donné que les économistes tablent unanimement sur une croissance au-dessous de 1 % et que des aléas très forts pèsent sur 2012, il va nous manquer une vingtaine de milliards de PIB et donc, en raison de recettes fiscales moindres, une dizaine de milliards pour le budget.

 

Où faut-il les prendre ?

 

Pour moitié sur les recettes et pour moitié sur les dépenses. Par exemple, il faudrait augmenter la CRDS, qui participe au financement de la dette sociale. L'année dernière, j'ai voté contre le budget, car le gouvernement a refusé de l'augmenter de 0,25 %, ce qui aurait rapporté 2,5 milliards. Il ne faut pas avoir peur de dire aux Français dans quelle situation nous sommes. Cela ne vaut pas que pour l'assainissement des finances publiques ! Il y a aussi l'enjeu de la compétitivité. Je n'arrive pas à comprendre pourquoi on ne débat pas sereinement d'une baisse des cotisations sociales qui serait compensée par un impôt sur la consommation, c'est-à-dire une TVA sociale.

 

Bercy travaille justement à ces nouvelles mesures de redressement. Le Parlement est-il associé à ces réflexions ?

 

Pas suffisamment. La différence entre l'Allemagne et la France, c'est que Merkel ne peut pas décider sans rendre des comptes devant le Parlement fédéral. Cela souligne le contraste entre un parlement responsable et un parlement qui fait face à un pouvoir exécutif qui décide de tout, comme en France.

 

La note AAA de la France est-elle menacée ?

 

Je ne réponds pas à cette question.

 

Vous êtes inquiet, alors, si vous ne répondez pas...

 

Je pense que nous devons prendre des positions plus tranchantes et plus résolues.

 

 

 

 

  

 

 

Les Syndicats CGC / FO et CFTC

ont signé l'Accord GPEC 

 

  

 

 

Grand Programme d’Expulsion vers le Chômage 

 le 14/12/2010

     

         

 

 

Faites gaffe à la Presse ! 

 

Surtout, ne répondez pas aux sollicitations des journalistes.

 

 On se remet toujours d’une interview qu’on n’a pas faite.

 

Mais on ne se remet jamais d’une interview ratée.

 

 

La Presse...  

L'équipementier Plastic Omnium

 veut muscler sa R&D

Le 23 mars 2011 par Michel Quéruel (Rhône-Alpes)

 

Investissement. Fortement stimulé par la reprise du marché automobile mondial, le groupe Plastic Omnium, spécialisé dans les équipements automobiles et la plasturgie, projette de créer en France un centre de R&D dédié aux réservoirs de carburant.

 

Ceci fait suite à l’acquisition l’an dernier par l’équipementier lyonnais (pour 215 millions d’euros) des 50 % du capital que détenait le belge Solvay dans leur filiale commune Inergy Automotive, spécialisée dans les réservoirs de carburant.

 

Grâce à ce site, dont le lieu d'implantation sera défini cette année, le groupe pourra regrouper ses effectifs actuellement basés en Belgique, à Laval et à Chantilly, de sa branche Réservoirs de carburant, renommée désormais « PO Auto Inergy ».

 

Ce centre, qui pourrait compter entre 400 et 500 salariés, devrait être opérationnel en 2013. A noter que Sigmatech, le plus important centre de R&D Plasturgie (Division Auto Extérieur) du groupe est situé à Sainte-Julie (Ain) dans la grande banlieue lyonnaise. Pour autant, la région Rhône-Alpes ne devrait pas accueillir ce nouveau centre, mais rien n’est exclu.

 


Le groupe Plastic Omnium emploie 18 000 salariés dans ses 96 usines implantées dans le monde. Il a réalisé 3,25 milliards d'euros de chiffre d'affaires en 2010 (+ 32 % par rapport à 2009), à 40 % hors d'Europe. Pour l’an dernier, le bénéfice net s’élève à 150,7 millions d'euros (4,6 % du chiffre d'affaires), contre 31 millions en 2009.
 
http://www.usinenouvelle.com/article/l-equipementier-plastic-omnium-veut-muscler-sa-r-d.N148781

  

   

 

 

 

 

     lapresse-copie-1.jpg

 

Adhérer en ligne à la CGT

Bienvenue à la CGT

Comme plusieurs dizaines de milliers de salarié-e-s qui l’ont fait, vous envisagez de rejoindre la CGT.
Quelles que soient vos motivations, vous exprimez ainsi la volonté de ne pas rester isolé-e, d’être acteur, actrice de votre avenir, de prendre en main vos revendications.

Cliquez sur le lien ci-dessous :

http://www.cgt.fr/Adherer-en-ligne-a-la-CGT.html

Pour vous syndiquer, veuillez remplir et valider le formulaire.

   

 

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